Comme un papillon avec une aiguille dans le coeur. C’est de même. Poèmes et collages. Rien que ça et pourtant on tient entre nos mains quelque chose de l’intérieur. C’est doux, c’est trash c’est là. Ça t’habite avant même de savoir que t’avais ça en dedans de toi, cet « abri Tempo/ où la tempête/ arrête de vivre ».